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lundi 10 juillet 2023

vacances 2023

 

                          


 Les vacances, c'est la joie de parcourir les petits sentiers à l'écart des villages, ceux que l'on connaît bien et où l'on rencontre toujours quelque chose de nouveau ou ceux que l'on découvre. C'est le calme des berges, le cours lent du fleuve apaisé quand il se rapproche de la mer. C'est le plaisir de lire dans le silence de la montagne, de laisser vagabonder son esprit.

Les vacances et le repos sont nécessaires.

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En cette période de vacances,  le blog   fait une pause de quelques semaines.

À bientôt.

Bernard Jean Caron

lundi 3 juillet 2023

billet n° 59

                NATURE (n° 2)

  Rares sont les cultures qui ne donnent pas la prépondérance à l'homme. Le bouddhisme, par exemple, enseigne que celui-ci doit vivre en symbiose avec la nature, il doit s'intégrer au milieu, respecter et protéger tout ce qui vit. En Europe, il a fallu attendre la seconde moitié du 19e siècle et la naissance d'une nouvelle discipline, l'écologie, pour entamer la même démarche et faire comprendre aux hommes que leur comportement doit tenir compte des lois qui régissent le fonctionnement de la vie.


 Le biologiste américain Barry Commoner avait défini les principes de l'écologie dans son livre L'encerclement  écrit en 1971 les principes de l'écologie. L’un d’eux affirmait que «la nature sait», ce qui signifie qu'elle en sait plus que l'homme.

 

  Nous savons depuis Darwin que la nature ne cesse d'inventer et de s'adapter. De nombreuses inventions ont été inspirées par elle : la ventouse a donné l'idée du velcro, la luciole celle de l'augmentation du rendement lumineux, les ailes ont inspiré les machines volantes, des matériaux copient la soie de l'araignée... On pourrait ainsi allonger la liste à l'infini.

  Les récents travaux de chercheurs ont prouvé que l'intelligence animale était une réalité. Chez les grands singes, les dauphins, les éléphants, les pies et les corbeaux, les perroquets, elle est étonnante. On sait que les rats, les cochons, les pieuvres sont capables de raisonner, que les insectes sociaux, les abeilles par exemple, ont une intelligence collective remarquable. De quel droit certains humains se permettent-ils de les faire souffrir ou de les tuer ?

 Toutes ces connaissances nouvelles et l'état actuel de la planète nous imposent d'avoir des rapports différents avec la nature et tout ce qui vit.

Le temps de l'homme prédateur et destructeur est dépassé.

 

 


 

 

 


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