RICHESSE ET PARTAGE
Mais sont-elles prêtes à partager les richesses produites, ce qui ne peut se faire que dans le cadre d’une autre mondialisation ? Je ne le pense pas.
L’économie sociale et solidaire va plus loin. Le profit n’est pas son moteur, elle recherche avant tout le bien-être social, l’équité et la sobriété qui épargne la planète. Pour elle, la richesse humaine est ce qui compte le plus.
Pour que cette vision de l’économie se développe, il faut que les gouvernements abandonnent leurs croyances mortifères. Il appartient aux États d'inscrire dans la loi les textes qui conduiront au respect des règles de l'écologie et au partage des richesses.