Le but du billet est de proposer des idées qui, dans tous les domaines, pourraient améliorer notre façon de vivre en respectant la nature.
LA CONNAISSANCE
Le propre de la connaissance, c’est qu’elle n’est jamais figée.
Il ne suffit pas de regarder ce qui est devant nous pour comprendre la réalité. La vérité est souvent longue à trouver et l'histoire des sciences est remplie d'erreurs de jugement aux conséquences plus ou moins graves. La vérité d'aujourd'hui n'est pas souvent celle d'hier et elle risque d'être remise en cause demain par de nouvelles découvertes.
L'un des principaux enjeux de ce siècle sera de faire progresser la connaissance des choses afin que l'Homme ait vis-à-vis de la nature et de lui-même un comportement plus responsable. En attendant, le principe de précaution s'impose.
Depuis des millénaires, malgré les progrès de la science, l'homme a vécu dans l'erreur. Il a cru que la Terre était plate, que les animaux étaient insensibles à la douleur, on s'est trompé sur l'âge de la Terre, sur la date d'apparition des premiers hommes, on a longtemps ignoré l'évolution des espèces (certains nient encore de nos jours les travaux de Darwin).
Nous avons encore beaucoup à apprendre sur l'univers, sur le monde animal et végétal. Le corps humain et le cerveau en particulier n'ont pas dévoilé tous leurs secrets.
Par exemple, le développement de l'enfant est toujours l'objet de questionnements : à partir de quel âge un bébé a-t-il une conscience visuelle ? Quand est-il capable de se rappeler ce qu'il a vu ? Des travaux démontrent qu'à partir de cinq mois, des bébés ont cette faculté, ce qui contredit ce qu'on croyait jusqu'à maintenant.
Développer sans cesse les connaissances, en ayant toujours en mémoire le principe de Rabelais (Science sans conscience...) pour aller vers un véritable progrès, est l’un des objectifs à atteindre au cours de ce siècle.
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