Catastrophes (plus ou moins) naturelles
Une fois encore, la nature vient de rappeler sa puissance aux humains.
Dans ce siècle, à plusieurs reprises, des catastrophes naturelles ont causé la mort de milliers de personnes au sud des Samoa ( tsunami), à Haïti et au Chili ( tremblement de terre) et dans l'ouest de la France ( tempête et inondations), laissant dans les villes et les villages touchés un spectacle de désolation insoutenable.
Ces jours-ci ce sont la Turquie et la Syrie qui ont connu un terrible séisme. Celui-ci a tué des milliers de personnes, il a fait de nombreux blessés, il a détruit des habitations et d'autres bâtiments.
Les aides viennent de différents pays. Chacun pense aux morts, aux survivants. On peut se poser la question :
一 Comment cela est-il possible ?
Régulièrement, notre planète nous rappelle la longue histoire de sa formation ainsi que le mécanisme des phénomènes naturels devant lequel l'Homme est impuissant, sa seule capacité se limitant à la prévision de ceux-ci.
Pour faire face à certaines catastrophes dans lesquelles les activités humaines n'ont aucune responsabilité, comme les tremblements de terre, nous avons deux possibilités : construire des habitations
conçues pour résister le mieux possible aux séismes ou ne pas bâtir sur les terres à risque.
Lorsqu'il s'agit de phénomènes tels que les inondations qui ne cessent de se multiplier à travers le monde, les activités humaines ont leur part de responsabilité.
Il apparaît alors nécessaire si l'on veut vraiment éviter la répétition de tels drames de revenir à un aménagement du territoire responsable tournant le dos aux dérives de notre époque : il faut cesser de croire que l'homme peut maîtriser la nature grâce aux progrès technologiques.
Il faut aussi cesser de construire des lotissements dans des zones où les risques sont trop grands. Le respect de la vie humaine doit l'emporter sur les intérêts financiers.
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