
Amaigries, épuisées, les bernaches nonnettes poursuivaient leur voyage.
Elles avaient quitté la toundra trop hostile pour des terres clémentes, survolé de vastes étendues désertiques,affronté des tempêtes et rêvé de repos dans des îles tranquilles.
Oh ! Combien de battements d'ailes, de battements de cœur pour un si long périple !
Souvent des promeneurs les regardaient passer. Ils admiraient leur vol fluide et solidaire,
l'élégance du groupe.
Les oiseaux migrateurs allaient vers le soleil.
Le film Le peuple migrateur retrace l'épopée des bernaches nonnettes
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