« Fête du cœur, fête des mots, fête de la vie, c'est toujours la fête avec la poésie. »
Ces mots ont été écrits par le poète Jacques Charpentreau.
«Alors que Noël est une fête de l'amour, de l'empathie, est-il normal de célébrer ces valeurs autour de la souffrance d'êtres sensibles ?»
Cette phrase a été prononcée récemment par Aymeric Caron dans l’émission Salut les terriens.
Et voici quelques pensées tirées de la Rumeur du temps :
La fête est une étape dans la ronde des saisons. Elle avait ses coutumes et ses symboles au temps des célébrations païennes. Certaines habitudes sont arrivées jusqu'à nous, comme la présence du gui et du houx autour de Noël.
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Le plaisir de la fête ne peut se concevoir dans la cruauté et l'égoïsme.
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Il faut réinventer la fête pour en faire un vrai moment de convivialité.
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Quand arrivent les fêtes de fin d’année, on entend pendant des jours parler d’huîtres chaudes, de foie gras, de chapons farcis au foie de volaille, de gigots de chevreuil à la gelée de groseilles...On entend cela jusqu’à l’indisposition.
Noël est devenu la fête de la consommation.
Et si l’on retrouvait l’émerveillement de l’enfance dans la simplicité ?
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Je n'aime pas les lendemains de fête,
la mélancolie des mines défaites.
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