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mardi 25 novembre 2014

Sur mon bloc-notes (48)

À la manière d'un journal qui permet de noter régulièrement des réflexions diverses ou de brefs comptes rendus, de choses marquantes, d'activités, ces Pensées éparses et Brèves sont une autre façon de faire entendre la rumeur du temps présent.

Semaine 48




Caprices de la technique
Ce carnet de bord terminait tranquillement sa sixième année, 830 articles avaient été rédigés, et autant de photos publiées ( dont celles - très belles-  de Ramon Ciuret qui collabore régulièrement à ce blog) lorsque la mauvaise surprise est survenue la semaine dernière : toutes les photos avaient disparu !
J’ai dû me rendre à l’évidence : il me faudrait les remettre une par une à leur place. Ce que j’ai commencé à faire. Dans quelques jours tout devrait être achevé.
J’ai profité de cet incident pour choisir un nouveau modèle mieux adapté aux appareils mobiles.
Petit rappel : la navigation dans le blog se fait à partir de la barre noire (à droite), par les catégories ou les dates de parution).

La chronique et le poème
Il faut environ une heure pour rédiger une chronique, il faut beaucoup plus de temps pour écrire un poème en prose ou en vers. 
Plusieurs semaines, voire plusieurs mois. sont souvent nécessaires  pour atteindre la forme définitive du poème. 
L’une a pour but d’apporter une information, d’exposer une position, défendre une cause...aussi clairement que possible.
Le second a pour ambition d’exprimer une émotion, un sentiment, d’une manière qui est propre à son auteur.

( Je rappelle que les textes parus dans la Rumeur du temps sont la plupart du temps retravaillés  et publiés dans les Murmures du temps présent, blog consacré uniquement à la littérature.)*

Pensées éparses

  - C’est un saltimbanque, Couche, qui a imaginé il y a trente ans les Restos du cœur, une initiative destinée à aider momentanément les plus pauvres en attendant que la situation sociale s’améliore. Une idée simple basée sur la générosité et la solidarité.
L’an dernier, 130 millions de repas ont été servis, et malheureusement la pauvreté perdure.
Combien d’années faudra-t-il encore pour qu’on parvienne à faire reculer durablement la misère en basant notre société sur les principes de solidarité et de partage ?

  - Ce qui m’attriste un peu dans ce bonheur tout neuf, disait une jeune femme, c’est qu’il ne sera plus jamais tout à fait le même.

- La terre, ce vaisseau fou qui poursuit sa course mécanique, emportant avec elle sept milliards de personnes, fourmis fébriles et confuses jouant des coudes pour une place au soleil.

 - Il y a plus de vérité dans un poème de Prévert évoquant le bruit terrible  « de l’œuf cassé sur un comptoir d’étain... quand il remue dans la mémoire de l’homme qui a faim » que dans un rapport sur la pauvreté fourni par une administration.

* Poèmes 

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